À tout âge, la disparition d’un frère ou d’une sœur provoque une onde de choc. Qu’elle engendre, enfant, une réorganisation de la cellule familiale ou, plus tard, des questions de succession, elle laisse des traces dans notre évolution personnelle. Néanmoins, comme toute disparition, elle peut être prise en charge par des thérapeutes qui seront capables de vous aider à vous construire ou à vous reconstruire. Bâtie sur autant de piliers que de frères et sœurs, la fratrie est certes intimement fragilisée par la disparition de l’un des siens, mais ce départ n’est pas nécessairement synonyme de condamnation au malheur.